Les FNB de dividendes présentent plusieurs caractéristiques intéressantes pour les investisseurs qui cherchent à obtenir des rendements plus stables. Ils sont généralement moins volatils, car ils sont habituellement constitués d’actions de sociétés très bien établies dont les flux de trésorerie sont réguliers. La plupart des FNB de dividendes sont à gestion passive, ce qui signifie qu’ils s’appuient sur une méthode indicielle fondée sur des règles pour composer le portefeuille. Généralement, les FNB sélectionnent les titres les plus performants de l’univers de placement pour leur portefeuille. Ils offrent une diversification instantanée à faible coût.

Toutefois, un rendement élevé ne devrait pas être le seul critère pris en compte dans le choix des placements. L’adoption d’une approche active plus diversifiée pour choisir un portefeuille d’actions à dividende peut offrir certains avantages par rapport aux produits à gestion passive.

« Le TQCD et le TQGD sont axés sur la qualité. Nous investissons dans des sociétés qui ont non seulement versé des dividendes par le passé, mais qui sont également susceptibles de maintenir et d’augmenter leurs dividendes à l’avenir. Nous recherchons des sociétés qui ont constamment été en mesure de rembourser leur dette et d’accroître leur rentabilité, qui ont également généré des flux de trésorerie importants et dont les bilans affichent de grandes liquidités. Ce critère privilégie souvent les sociétés d’assurance et les sociétés des secteurs de l’énergie et des matériaux, certaines fiducies de placement immobilier ainsi que des sociétés de secteurs traditionnellement dits défensifs, notamment le secteur des biens de consommation de base et des services publics. Dans le TQGD, nous avons tendance à privilégier les sociétés qui versent des dividendes de grande qualité dans les secteurs des soins de santé et du transport ainsi que du secteur des technologies dans lequel nous détenons d’importantes participations dans Apple et Microsoft. »

L’équipe des placements à gestion quantitative de Julien Palardy, qui existe depuis 25 ans, a été l’une des premières au Canada à se concentrer sur les placements à gestion quantitative, une approche évoluée en matière de gestion de placements et de sélection des titres qui repose sur une combinaison de modèles informatiques et d’analyses de données et sur le jugement professionnel pour créer un portefeuille optimal qui équilibre le risque et le rendement.

« Je crois que l’avenir des placements réside dans les modèles et les mesures quantitatives. Bien que d’autres institutions financières s’appuient largement sur le pouvoir discrétionnaire des gestionnaires de portefeuille pour maximiser le rendement en dividende, nous utilisons des approches de gestion quantitative fondées sur les données pour composer notre portefeuille. »

Au cours des deux dernières années, cette approche statistique a pris une nouvelle dimension avec l’avènement de l’intelligence artificielle (IA). Alors que la gestion quantitative a depuis toujours utilisé des données numériques tirées des états financiers des sociétés, l’IA permet maintenant d’interpréter des données non structurées ou textuelles avec plus de profondeur.

« L’information textuelle est extrêmement importante, car elle permet d’interpréter les valeurs que nous utilisions dans nos modèles. Les modèles que nous élaborons aujourd’hui nous permettent de traiter de l’information textuelle provenant par exemple de transcriptions de conférences téléphoniques sur les résultats. Cette façon de faire nous ouvre une autre perspective sur les valeurs publiées par les sociétés et joue un rôle essentiel dans la manière dont nous les interprétons. Une fois que nous disposons de ces informations textuelles, nous pouvons les transformer en valeurs que nous pouvons ensuite introduire dans nos modèles quantitatifs. »

L’équipe des placements à gestion quantitative de GPTD est pratiquement sans équivalent au Canada. Comptant 30 gestionnaires, spécialistes des données et chercheurs attitrés et plus de 14 G$ CA1 d’actifs gérés, elle est l’une des rares organisations capables d’exercer leurs activités à une échelle suffisamment importante pour maintenir une exploitation de haut niveau en utilisant les meilleures données disponibles.

Cet avantage inhérent se reflète dans les rendements des deux FNB à gestion quantitative de GPTD. Les deux fonds existent depuis plus de quatre ans. Bien que 2020 ait été une année plutôt difficile pour les stratégies donnant droit à des dividendes en raison de la COVID-19, au cours des trois dernières années, le TQCD et le TQGD ont surpassé leur indice de référence d’environ 3 %².

Vous pouvez acheter des parts du FNB de dividendes canadiens Q TD (TQCD) et du FNB de dividendes mondiaux Q TD (TQGD) à partir de vos comptes de courtage ou par l’entremise de votre conseiller.

Cet article est publié par BTV Bulletin, , qui présente des occasions de placement aux investisseurs depuis 25 ans.

¹Source : Actifs gérés dans l’ensemble des mandats gérés par GPTD. Au 31 décembre 2023.
²Données standards sur le rendement au 31 décembre 2023 : TQCD : 12,2 % (1 an); 13,0 % (3 ans); 6,5 % (depuis sa création, le 20 novembre 2019). TQGD : 14,5 % (1 an); 11,9 % (3 ans); 7,4 % (depuis sa création, le 20 novembre 2019). Indices de référence : TQCD : Indice RT composé S&P/TSX ($ CA); TQGD : Indice MSCI Monde d.n. ($ CA). Pour les périodes de plus d’un an, les rendements sont annualisés.

Les renseignements aux présentes ont été fournis par Gestion de Placements TD Inc. à des fins d’information seulement. Ils proviennent de sources jugées fiables. Ces renseignements n’ont pas pour but de fournir des conseils financiers, juridiques, fiscaux ou de placement. Les stratégies fiscales, de placement ou de négociation devraient être étudiées en fonction des objectifs et de la tolérance au risque de chacun.

Les placements dans des fonds négociés en bourse (FNB) peuvent comporter des frais de courtage, des frais de gestion et d’autres frais. Veuillez lire le prospectus et l’aperçu du FNB avant d’investir. Les FNB ne sont pas garantis; leur valeur fluctue souvent et le rendement passé peut ne pas se reproduire. Comme les parts de FNB sont achetées et vendues sur une bourse au cours du marché, les frais de courtage en réduiront le rendement. Le rendement d’un FNB ne correspond pas à celui de l’indice. Les taux de rendement mentionnés correspondent au rendement total historique pour les périodes et ils tiennent compte des variations de la valeur des parts et du réinvestissement des distributions. Les frais de rachat et de courtage et les impôts sur le revenu payables par tout porteur de parts, qui auraient réduit le rendement, ne sont pas pris en compte.

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