TAMARA : Merci pour être avec nous. Je m’appelle Tamara Owchar, je suis vice-présidente directrice et gestionnaire de portefeuilles pour l’équipe de l’Investissement quantitatif, ici, à TD. ˂indiscernable˃ un excellent sujet de discussion, nous allons être rejoints par Julien Palardy, directeur de gestion, et Jean-François Fortin, vice-président Recherche et développement, Investissement quantitatif et Modèles de risque.
Avant de commencer avec la rencontre avec Julien et Jean-François, je veux te dire l’aperçu général. Donc, voyons quelle était la volatilité du marché cette année, comment ça a eu un impact sur la faible volatilité comme facteur. Alors, l’environnement du marché, cette année, peut être caractérisé probablement comme un marché à risque, ce qui est le contraire de ce que nous avions en 2022. Ce type d’environnement est un qui pose beaucoup de défis pour les stratégies à faible volatilité. Les stratégies à faible volatilité sont conçues pour profiter de cette faible anomalie de faible volatilité et sont construites pour avoir moins de risques que le repère sans sacrifier les investissements à long terme. Comme résultat de cette préférence vers les équités plus défensives, ces stratégies vont aller plus loin vis-à-vis les différents marchés en amont que nous avons eus cette année, puis ils vont également être en recul avec les marchés qui sont alimentés par des prises de risque.
Alors, Julien et moi, nous allons rentrer dans plus de détails éventuellement, au fur et à mesure, avec ce webinaire d’aujourd’hui, mais le facteur de style de faible volatilité est un des facteurs les plus actifs ici en 2023. Donc, le marché a respiré un peu vis-à-vis leur trajectoire ascendante et ˂indiscernable˃ en août, septembre, avec la perte des indices, a vu une chute le troisième trimestre. Qu’est-ce que ça veut dire pour le facteur de faible volatilité? Bien, le facteur de faible volatilité a rebondi en août, septembre et octobre, avec la faiblesse économique et les différents messages de plus haut ˂indiscernable> longtemps. Puis le taux d’intérêt était reflété encore dans les marchés.
Nous sommes en novembre maintenant, donc presque la fin de l’année, mais novembre va être semblable à la première moitié de l’année, car les dernières publications du fédéral, la communication était un signe positif pour le marché de l’équité, encore une fois, en repassant ceci à un risque allumé.
Donc, l’effort de performance sur les indices, cette année, est une histoire de haute concentration, puis nous allons parler davantage là-dessus. Alors, deux tiers des retours du monde d’indices ˂indiscernable˃ peuvent contribuer aux magnifiques sept, ça veut dire Apple, Microsoft, Meta, Amazon, Tesla et Alphabet. Donc, la plupart de ces compagnies, à l’exception de Microsoft, peuvent non seulement être appelées les magnifiques sept, mais c’est carrément les sept volatiles. Donc, quand on regarde ceci, sur un groupe de volatilité, sur le spectre de la volatilité, ces noms sont plus élevés sur une base relative, donc les stratégies de volatilité faible ne vont pas être exposées tellement à ceux-ci. Et ce qui se passe avec nous, en 2023, c’est que ceci est en train de mettre les stratégies d’investissement en désavantage dans ce type de marché.
Alors, maintenant que j’ai établi le tout et que j’ai parlé de ce qui se passe jusqu’à présent cette année, creusons davantage dans les marchés, puis on va les examiner sous un objectif de volatilité. Mais parlons à Julien, ensuite ramenons J-F dans la conversation également, au moment de parler de la diversification ainsi que sa dernière publication, Éliminer le risque des portefeuilles avec des équités à faible volatilité.
Donc, avant de passer à ce qui est important, vous arrêterez de m’entendre parler, on va juste faire un petit peu plus d’entretien ménager, encore une fois. Et si vous avez des questions, et si on veut arriver à ces questions, on va revenir là-dessus.
Débutons. Alors, Julien, cette année, jusqu’à présent, ça a été un grand défi pour plusieurs différents styles d’équités. Et la faible volatilité n’est pas une exception, hein? Alors, suite à ce que nous avons vu en 2022, le facteur de faible volatilité a vu des défis en 2023. Donc, comment est-ce que la performance d’aujourd’hui, de ce facteur, revient à vos attentes?
JULIEN : Merci beaucoup, Tamara. Alors, je pense que c’est Andrew qui exerçait le tout vis-à-vis de la façon dont ça a évolué vis-à-vis les attentes, et le pourquoi aussi, ici, nous travaillons non seulement vis-à-vis de la performance contre le marché, mais aussi, si vous pensez à la capture que vous voudriez dans un marché externe, même un marché comme celui qu’on a vu cette année, évidemment, nous sommes bien au-dessous. Et en fait, ˂indiscernable˃ n’est pas juste le style d’investissement qui est comme celui-ci. Il y a beaucoup de gestionnaires qui sont en train de lutter, de combattre ces différentes stratégies. Alors si on pense aux gestionnaires de gestion, tout ce qui n’est pas une croissance à faible captation, typiquement, est bien en deçà de notre indice. C’est la raison principale qu’on veut mentionner : ce n’est pas juste un phénomène mondial, c’est également une augmentation de la concentration du marché, donc tout type de gestionnaires qui gèrent leur portefeuille loin du repère et ˂indiscernable˃ d’un diagnostic aurait souffert le même type de fois où probablement la plupart d’entre eux n’auraient pas senti ce type d’actions. Nous avons fait un bon travail cette année.
Et conséquemment, ce que nous voyons avec la faible volatilité, c’est au-dessus des attentes vis-à-vis du long terme et des chiffres que nous avons observés, si vous voyez les différents endroits de concentration du marché. Comme nous avons vu cette année, ces chiffres ne sont pas 100 % imprévus, puis on l’a vu, 2020 est un autre exemple de haute concentration du marché, puis on l’a vu dans les années 90 aussi, puis vers la deuxième moitié, peut-être en 2010, même, 2012. 2020, vous avez vu une reconcentration du marché. Puis vous pouvez voir le côté ascendant et descendant, du fait que les choses ne soient pas aussi fortes par rapport à ce que l’on avait vu entre 2000 et 2010. Et puis malgré le fait que nous avons vu des épisodes comme ceux-ci, ça ne change pas l’épreuve à long terme. Donc, il va y avoir des aspects où la capture externe ne sera pas aussi belle à long terme, mais malgré tout ça, et malgré ces épisodes de concentration de marché plus élevée et des différents ajustements de risques, ça s’avère encore mieux que le marché.
TAMARA : OK, alors, que pouvez-vous dire au sujet de l’efficacité de la faible volatilité? Est-ce que ce facteur est juste moins efficace que ce que l’on a vu historiquement? Qu’est-ce que vous en pensez, en fait?
JULIEN : Non, non, je ne dirais pas ça. Je pense qu’en fait, c’est une erreur de juger l’efficacité de la faible volatilité, puis l’existence basée sur la performance du passé. Les gens devraient probablement faire l’inverse. Juste parce que quelque chose n’a pas livré une capture ascendante ou descendante dans une période récente, ça ne veut pas dire que ça a arrêté de fonctionner. Ça se compare beaucoup au ˂indiscernable˃ que le monde est plat, mais peu importe combien de temps vous allez marcher, la Terre n’est pas plate. C’est un fait, et puis vous n’allez pas être capables d’inverser cette vérité en observant certains points de donnée. Alors, afin d’évaluer la faible volatilité, il faut voir toute la distribution et ce que nous connaissons, ou des preuves empiriques, ce que la distribution de ces retours a tendance à voir, une moyenne semblable au reste du marché. Et maintenant, c’est une dispersion bien plus faible par rapport au reste du marché. Et conséquemment, si vous avez des investissements à faible volume, vous allez aboutir avec un rendement rajouté différent, mais pour réaliser ça, il faut rester investi, donc vous ne pouvez pas tout racheter, juste basé sur ce que la faible volatilité a fait récemment par rapport au marché.
Et en fait, nous avons une page, à la page deux, où nous voyons les preuves empiriques de ce qui se passe dans le marché. Ça, c’est le ratio entre la faible volatilité, puis l’indice sur 35 ans, même si nous voyons seulement 25 ans. Et ça, c’est vraiment un chiffre de dix ans, donc on a couvert 35 ans de données. Et il y a seulement très peu d’épisodes où nous avons une période de ˂indiscernable˃ que vous avez un meilleur ratio avec le marché qu’avec la faible volatilité. Ça, c’était à la fin des années 90, où nous avons vu un risque ascendant sur les rallies et les rallies concentrés par rapport à ce que l’on voit aujourd’hui, surtout vers les dernières années, des années 90. Et ceci a culminé, comme nous le savons : en 2020, nous avons vu le même type de phénomène. Alors si vous étiez dans une position pour mesurer le ratio faible volume versus l’indice, et puis à la fin des années 90, vous auriez probablement pu voir un ratio semblable entre les deux. Ça ne veut pas dire que ça ne fonctionne pas. Il faut voir l’image plus large. Et en général, si vous voyez tout cet échantillon, la plupart du temps, vous regardez les ajustements des risques pour la faible volatilité, puis ça, c’est pour une question de livrer le meilleur ajustement de risques.
Alors, à partir de ce point de vue, je suis presque sûr que les prochaines dix années vont être exactement de même que ce que l’on a vu dans les derniers 35 ans. Et puis on peut aller même plus loin que ça parce qu’on a des preuves empiriques là-dessus, où les chiffres sont semblables vis-à-vis des ajustements de risques par rapport au marché.
TAMARA : Alors, ce que vous dites là, c’est que l’investissement à faible volatilité, c’est une stratégie à long terme, et puis nous ne devrions pas… Vis-à-vis regarder le marché, c’est vraiment difficile à évaluer pour un investisseur de faible volatilité. Alors quels sont vos conseils, ou que voulez-vous dire aux investisseurs qui s’inquiètent de ne pas tenir le coup à la fin?
JULIEN : Bien, je dirais : « Ne regardez pas trop le marché parce qu’à la fin, il faut prendre cette distribution empirique à laquelle vous voulez être exposés, vous voulez la plus haute volatilité que possible et des côtés positifs de notre côté. Ou sinon, vous voulez aussi notre distribution de rendements qui va vous donner plus d’introspectifs quand vous rentrez dans cette volatilité du marché. Donc, si vous décidez d’aller avec ceux qui ont cette distribution, ne regardez pas ce qui se serait passé si vous aviez pris plus de risques, surtout pas sur une période de temps très courte, donc certains rallies, mais dans d’autres circonstances, ils vont voir un crash aussi. Et vous serez très heureux. Comme en 2022, la plupart de ceux-ci étaient très heureux d’être ˂indiscernable> au lieu d’être dans le marché. Et puis si vous vous concentrez seulement sur six différentes opportunités que vous avez ratées, de prendre plus de risques, ça, ça va probablement juste vous mener à des stratégies et à aller de l’avant avec d’autres côtés à l’avenir. »
Mais ça remonte à se concentrer sur l’image générale et la distribution de rendements de faible volatilité. Puis il faut enlever les émotions du jeu, puis essayer de se baser sur des faits au lieu de se baser sur ce que vous voyez récemment, et sentir que vous avez laissé le rally à la table. Ce n’était probablement pas la meilleure façon de faire des décisions d’investissement. Et la seule raison, c’est parce que malheureusement, trop de personnes suivent leurs émotions vis-à-vis les décisions en investissement. Et ça, c’est pour avantager ceux qui sont bien plus rationnels et prennent leurs décisions basées sur des bases empiriques et d’autres faits.
TAMARA : Et il faut être bien raisonné. Mais ramenons J-F à cette conversation. ˂indiscernable˃ parlons de votre papier blanc, donc les portefeuilles avec des équités à faible volatilité. Donc, commençons avec la diversification. La diversification est parfois considérée comme le seul lunch gratuit dans l’investissement. Alors, comme on a tous vu, en 2022, avec l’absence de corrélation négative dans les actions et les obligations, la diversification nous a ratés lorsqu’on avait besoin de ceci le plus. Donc, toutes les corrélations passent à…
Donc, J-F, pouvez-vous nous parler du rôle de la faible volatilité dans la diversification des portefeuilles?
JEAN-FRANCOIS : Oui. La première chose, il s’agit de gérer les risques, et il y a deux façons de passer par tout ça. La première façon, c’est de diversifier à travers nos différentes classes d’actifs, donc c’est toute l’idée derrière le portefeuille de 60/40. Par contre, les actions chutent, le reste augmente et vice-versa. Mais la relation n’est pas toujours garantie, et ça disparaît de même avec les avantages de la diversification. Donc, vis-à-vis ça, c’est nécessaire mais ça ne va pas toujours être assez. Les autres façons de diversifier dans les classes d’actifs, c’est là où nous avons de la faible volatilité, donc c’est moins risqué, évidemment, par construction, par concept, que d’autres styles d’équités, mais ça a également une corrélation plus faible par rapport à d’autres styles. Et c’est surtout vrai du côté négatif, où vous avez le plus besoin de ces diversifications.
TAMARA : Oui, mais ce ne serait pas juste mieux de diversifier à travers les styles d’équités.
JEAN-FRANCOIS : Donc, on va parler de la diversification et pas juste de la faible volatilité pour réduire le risque de mon portefeuille. Vous voyez, vous penseriez que oui, mais à la fin, oui, les styles sont encore… Donc, on parle de 80 ou plus. Et la plupart des risques, en combinant différents styles, ça ne vient pas de la diversification des styles. Alors si vous voulez pousser davantage, la meilleure chose, c’est de, et si on veut aller de l’avant… Et si on voit ce qui se passait dans les derniers 25 ans, on peut voir combien la faible volatilité a aidé. Et ça, c’est la première variable de six différents gardes.
Alors, comme il a dit, la faible volatilité a aidé dans chaque épisode, beaucoup plus dans la moyenne que d’autres styles d’équités. Donc, si vous aviez par exemple la moyenne de votre exposition à travers n’importe lequel de ces… après, vous auriez fait une capture ascendante bien mieux qu’avant. Des fois, c’est trois à quatre fois pire.
TAMARA : OK. Alors si vous regardez ce tableau, la faible volatilité ne va pas toujours avoir la meilleure performance dans tous les cas. Donc, quelles sont vos pensées sur le timing, donc attribué plus à la faible volatilité quand vous percevez le risque à l’horizon?
JEAN-FRANCOIS : Eh bien, il n’y a aucun doute que la valeur doit se faire correctement. Mais si ça se fait correctement, il faut ˂indiscernable˃ que ceci est très difficile à trouver vis-à-vis les différents facteurs dans les différents marchés, comme vous avez mentionné, mais la partie la plus difficile, c’est de savoir ce qui se passe par la suite, donc connaître le meilleur style, dans quel environnement. C’est seulement vraiment utile si vous pouvez prévoir quel environnement, quel type de crise arrivera par la suite. Et malheureusement, c’est bien plus facile de le dire que de le faire. Et si vous n’avez pas ce type d’introspectifs ou si vous êtes un investisseur qui n’aime pas les risques, votre meilleure chose, c’est d’acheter celui avec le meilleur dossier, puis largement. Puis c’est précisément ce que nous voyons.
Alors, nous voyons ça à cette page-ci, mais c’est encore plus clair à la page suivante, si vous pouvez aller à la page quatre. Alors ce que l’on voit ici, c’est la performance moyenne à travers les six crises les plus larges des trois dernières décennies. Ce que l’on voit, c’est le facteur global, c’était l’endroit où il fallait être en moyenne. Et pendant ces crises, donc, il n’y a pas de facteur de timing qui était requis.
TAMARA : Donc, je pense que dorénavant, j’aime voir les choses un peu comme il y aura une autre crise, peu importe, au moment de continuer dans notre aventure dans la vie. Quelque chose d’autre va arriver, mais nous ne savons pas exactement ce que ce sera. Si c’est ce qu’on avait fait dans le passé, quelque chose va mal. Alors c’est mieux de juste arriver à la faible volatilité, puis en moyenne, vous allez avoir une surperformance, ou au moins gérer le risque de façon convenable.
OK. Alors maintenant, revenons au marché, puis on peut parler davantage des concentrations. Donc, Julien, les marchés sont de plus en plus concentrés, et j’ai parlé un peu de ça au début. Mais avec l’augmentation de la concentration des marchés, les risques du marché qui augmentent, donc la faible volatilité vis-à-vis ce que nous avons dans les repères, ce que les investisseurs utilisent comme des repères, donc les stratégies qui se basent sur la production de risques ont l’air de moins en moins comme s’ils sont des repères concentrés.
Alors, ma question, c’est : il y a combien d’erreurs dans la ˂indiscernable˃, combien c’est trop dans la stratégie de faible volatilité, et pourquoi pas juste se rapprocher de plus en plus de ce repère?
JULIEN : Eh bien, j’aimerais rajouter que notre augmentation augmente mais également la gestion des risques. Et c’est ce que les gens devraient être heureux de faire. Dans des aspects où la volatilité du marché augmente, on doit faire mieux vis-à-vis de la réduction de ces différents points. Et j’aimerais avoir un échange entre les erreurs de repérage et la réduction des risques, mais malheureusement, pour atteindre un, il faut avoir l’autre. Typiquement, les gestionnaires actifs qui cherchent à battre le repère vont se limiter dans une certaine borne, disons 2, 3, 4 %, puis ils vont essayer de générer le plus de valeur ajoutée dans cette gamme ou cette ˂indiscernable˃.
Et puis il y a une bonne raison pour ça : typiquement, c’est parce qu’il y a une relation entre les valeurs ajoutées. À moins que vous essayiez de faire des choses liées aux actions, vous allez commencer à avoir de la marge. Ce sera beaucoup plus difficile de rajouter quelques points de plus vis-à-vis la valeur sans avoir pris plus d’erreurs, et donc il y a une relation très claire entre les risques actifs et la valeur ajoutée.
Mais vis-à-vis de la réduction des risques, vous ne voyez pas ici, ce n’est pas dans notre relation. En fait, c’est une relation très linéaire, juste que vous puissiez arriver au point où c’est physiquement impossible de réduire le risque à ce point-ci. Et vous allez décider entre deux portefeuilles, une réduction de risques. Vous allez décider d’en prendre un qui a le moins de repères des risques. Mais ça va prendre du temps avant d’arriver à ce point-ci avant de frapper un mur où c’est physiquement impossible de… Donc, il n’y a pas vraiment un échange aussi clair entre la réduction du risque et le repérage de risques. Quand vous essayez de battre les repères pour la faible volatilité, c’est différent.
Donc, si vous croyez dans la faible volatilité, je crois qu’il ne faudrait pas prendre de risque là-dessus, alors limitez votre erreur. Ça va contre cette croyance même. Et encore une fois, tant que vous n’avez pas poussé votre réduction de risque autant que ça, ce n’est pas très clair pour moi que vous devriez vous limiter artificiellement pour empêcher cette réduction de risque.
TAMARA : Donc, votre objectif, c’est de vous concentrer uniquement sur la réduction absolue des risques. Vous avez parlé un peu de pourquoi ne pas chercher les deux, absolu et actif, mais peut-être que vous pouvez élargir davantage là-dessus.
JULIEN : Eh bien, ça reviendrait à une question de référence. Une fois que l’on comprend que ça, c’est linéaire, vous n’allez pas réduire votre risque sans prendre des erreurs supplémentaires. Et puis là, ça devient une question de trouver le point où c’est votre préférence en tant qu’ambassadeur. Et vous pouvez imaginer que différents investisseurs auraient différentes références, mais à la fin, d’aller à faible volume, c’est vraiment de livrer le meilleur ajustement des risques possible, à moins que de prendre moins d’erreurs de repérage nous permette de livrer ça. Ce n’est pas vraiment le cas. Ce n’est pas le cas du tout, en fait. Mais à moins que nous ayons un contexte spécifique dans le marché, nous croyons que les investisseurs devraient avant tout se concentrer sur la réduction des risques maximum pour ˂indiscernable˃ les différents retours.
En fait, notre objectif aspirationnel en tant que gestionnaires de faible volatilité, c’est que si on peut vous livrer un portefeuille avec zéro volatilité, évidemment, des erreurs de marketing ou de différentes volatilités, donc appelons ceci erreurs de ˂indiscernable˃ %, mais par rapport à un qui est à 0 % d’erreurs de repérage et puis de volatilité du marché, ce serait disons 50 %, lequel choisiriez-vous en tant qu’investisseur? Pour moi, c’est très clair. Je vais prendre le risque qui me donne 8 % parce que ce risque est encore à 5, 5,5 %. Alors, en fin de compte, vous pouvez me donner un rendement de 8 %, ou un portefeuille avec zéro volatilité. C’est le portefeuille que je choisirais. Et évidemment, aucune volatilité, mais l’objectif aspirationnel de faible volatilité, c’est d’avoir les ˂indiscernable˃ le plus proche possible à leur portefeuille.
Et à partir de ce point de vue, il n’y a pas de place vraiment pour limiter les erreurs de repérage si ça nous empêche de ne pas ˂indiscernable˃ le portefeuille, et le plus à risque que possible avec les différents rendements comme les marchés. C’est une question à la fin d’essayer de satisfaire cet objectif du mieux possible.
TAMARA : Oui, alors avoir ce type de rendement avec un trajet avec moins d’obstacles. Oui, alors passons de retour à la diversification. Parlons à J-F, encore une fois. Donc, Jean-François, disons que j’ai déjà un portefeuille qui est divers, à travers différentes classes d’actions, et puis je gère déjà mon risque, moins d’équilibre dans l’infrastructure, pourquoi est-ce que j’aurais besoin de cette équité de faible volatilité par rapport à d’autres styles d’équités, ou juste des limites là-dessus, donc, dans mon portefeuille, pour chercher des retours, pourquoi?
JEAN-FRANCOIS : Le risque, vous pouvez évidemment le faire, mais ça va venir à un coût de rendement prévu. Ou si vous voulez utiliser plus de l’alternative, ça pourrait arriver avec un coût de ˂indiscernable˃. Mais il y a toujours un petit échange. Donc, la raison pour laquelle on veut plus de faible volatilité, ce n’est pas juste pour réduire le risque, c’est pour réduire le risque et récupérer les primes d’équité. Un bon exemple, je pense que c’est à la page cinq.
Donc, à la page cinq, nous vous avons montré différentes frontières volatiles. Et un, c’est pour utiliser différentes équités. Puis le deuxième, ça inclut la faible volatilité. Puis la première chose que nous voyons, c’est que les deux sont à courbe ascendante. C’est parce que les équités, elles ˂indiscernable˃ plus que les obligations, donc voilà la prime. Et l’autre chose que l’on voit, c’est que, à long terme, vous êtes presque toujours mieux placés avec le volume ˂indiscernable˃. Une partie de la raison, c’est parce que vous recevez plus de primes là-dessus. Donc, une autre façon de le voir, c’est à la page suivante, et vous pouvez passer à la page six, s’il vous plaît.
Alors, le premier, c’est juste votre portefeuille 60/40. Donc, 60 % de votre équité, 40 % de ˂indiscernable˃. La deuxième ligne en bleu, c’est une avec les obligations. Et puis l’autre, c’est le même type de risque que le portefeuille ˂indiscernable˃. Donc, les deux portefeuilles, en fait, ou les deux lignes, ont le même risque exposé, mais nous voyons que le retour sur d’autres est bien plus élevé. La raison, encore une fois, c’est parce que pour le même niveau de risque, disons 8 % annualisé, vous pouvez avoir près de 20 % plus de faible volatilité, donc 20 % plus d’équités, et en fait, 20 % de plus de votre portefeuille avec un meilleur rendement prévu de vos obligations.
TAMARA : OK. Alors les actions à faible volatilité, ˂indiscernable˃ corrélation avec les obligations. Donc, y a-t-il une allocation d’obligations où les actions ne feront pas autant de réduction des risques que les autres à cause de ça? Qu’en pensez-vous?
JEAN-FRANCOIS : Oui, oui. Non, il y en a, il y en a. Mais c’est pas mal élevé, alors ce seuil, par exemple, dans l’exemple que je viens de donner, c’est près de 90 %. Alors à moins que vous vouliez avoir plus de 90 % d’actions dans votre portefeuille, en fait, c’est mieux si on réduit le risque. Et la raison, c’est parce que la réduction de risques que vous obtenez avec le risque plus bas, ça va dérégler les faits de la corrélation avec des actions mais différemment, oui. Il y a de hautes corrélations avec les obligations, mais le risque faible va être mieux que le reste. Donc, c’est vrai, même si vous avez des alternatives, hein.
Si vous passez à la page sept, par exemple, nous montrons l’allocation optimale qui minimise les risques de portefeuille pour les différents niveaux d’obligations alternatives. Il faut faire un zoom in pour le voir, mais le niveau d’allocation où on n’offre pas autant de réduction des risques que d’autres styles d’équités, donc d’autres styles ˂indiscernable˃, donc ça, c’est encore une fois à près de 90 %.
TAMARA : Alors, vous regardez en haut, tout en haut, à droite, le coin supérieur à droite?
JEAN-FRANCOIS : Oui, oui, exactement.
TAMARA : OK. Alors disons, par hypothèse, qu’est-ce qui se passe si je suis pleinement ˂indiscernable˃ pleinement financier qui a des investissements, donc un programme LDI, et disons que je suis presque à 100 % investie dans les obligations, y a-t-il encore une place dans mon portefeuille pour des stratégies de faible volatilité?
JEAN-FRANCOIS : Absolument, oui. La façon dont je vois les choses, c’est que les actifs, pour correspondre aux pertes, ne devraient pas être attribués ˂indiscernable˃. Donc, ceux qui ont des passifs bien plus larges vont investir davantage dans les obligations, c’est évident. Mais le capital excédent devrait être attribué par rapport au mélange de politiques. Donc, ˂indiscernable˃ excédent ou pas, aussi ceux qui cherchent un rendement ou des actifs, qui cherchent à récupérer des ˂indiscernable˃. Mais ˂indiscernable˃ ce point avant, c’est qu’il faudrait toujours prendre le plus que possible, ou de même, vous ne devriez jamais prendre ˂indiscernable˃ vous soyez payé pour ça.
TAMARA : Merci, merci, Jean-François. Donc, changeons un petit peu, encore une fois, avant de compléter le webinaire. Et comme vous le savez tous, il n’y a pas de conversations sur les marchés maintenant qui peuvent être faites sans parler des taux d’intérêt. Il faut parler des taux d’intérêt. Les taux d’intérêt ont augmenté drastiquement dans deux ans, atteignant des chiffres qu’on n’a pas vus depuis plus de deux décennies. Maintenant, avec les actifs et obligations qui sont à près de 5 %, plus d’investisseurs passent à un revenu fixe pour réduire leur risque de portefeuille et générer un revenu. Alors combien de cette sous-performance du style de faible volatilité et de cet ˂indiscernable˃ défensif, comme les différents services publics et les soins de santé, sont dus au taux d’intérêt plus élevé? Puis quels autres facteurs pourraient être en jeu? Peut-être que Julien, vous pouvez répondre à cette question?
JULIEN : Oui, effectivement, ça dépend si on parle de cette année, le trimestre dernier, ou à long terme, mais les preuves empiriques, on a fait plein de ˂indiscernable˃ là-dessus parce qu’une question qui nous revient à maintes reprises, au moins chaque fois qu’on voit une augmentation dans les taux d’obligations, mais il s’agit des taux d’obligations. Et ce que l’on voit, c’est que, à long terme, le plus grand facteur moteur de la performance dans le marché, c’est évidemment le marché lui-même. Donc, quand il y a un rally du marché, donc il y a une surperformance, et quand il y a un crash, on a tendance à fermer. Puis une fois que vous avez ça, le contrôle, la direction des rendements des directions, vous allez voir si vous avez surperformé ou sous-performé. Ce sont des preuves statistiques, empiriques que nous avons vérifiées à plusieurs reprises. Donc, c’est une période assez longue. Les taux d’intérêt ne semblent pas être si importants que ça. Et il y a quelques raisons pour lesquelles on peut attribuer ceci. La première, c’est que la seule volatilité n’est pas toujours dans ces secteurs plus à la défensive, au moins. Alors la façon dont la faible volatilité va avoir sur les différents secteurs va varier. Avec le temps, ce sera adapté, mais notre portefeuille actuel peut être très à la défensive, mais nous avons eu des périodes où les ˂indiscernable˃, c’était des secteurs principaux. Puis dans ces secteurs, évidemment, vous avez travaillé de façon bien plus défensive, avec des compagnies d’assurance, où les indices sont bien plus larges, donc vous pouvez encore gérer des risques très bien dans ces secteurs. Il y a beaucoup de faible volatilité à choisir.
Mais ça n’existe pas, un seul portefeuille à travers les différentes conditions. Donc, quand les taux d’intérêt augmentent, typiquement, cette faible volatilité a tendance à s’adapter. En plus de tout ça, il va y avoir ce que les gens pensent comme étant des secteurs très sensibles, comme la volatilité pourrait ou ne pourrait pas être le secteur le plus sensible. Donc, un secteur est très ˂indiscernable˃ nous avons vu une augmentation des rendements pour les obligations des secteurs technologiques. Des grands noms ont souffert par rapport à d’autres, que les secteurs à la défensive aussi. Mais nous avons vu une augmentation des actifs.
Et puis c’est la même chose en 2020. Nous avons vu une grande chute dans ces actifs, et ça n’a pas vraiment aidé avec le secteur plus défensif. Cette année, on voit le contraire, surtout au début de l’année. La concentration du marché, c’est énorme, et on va aller de l’avant à court terme. Et la quantité de concentration, le changement de la concentration que nous voyons dans le marché joue un rôle bien plus important pour bien comprendre la performance de faible volatilité par rapport au marché, par rapport au taux d’intérêt. C’est ce que nous voyons du point de vue empirique.
TAMARA : Et Jean-François, vous voulez répondre à ça?
JEAN-FRANCOIS : Et donc, ça laisse la barre pour toutes les différentes équités, puis que ce soit à faible volatilité ou pas. Et ça crée ˂indiscernable˃ un lien plus compétitif pour nous et avec nos prix. Et l’actif le plus coûteux, c’est typiquement celui qui va sentir la pression d’abord. Et c’est comme ça que ça devrait être, de toute façon, mais c’est naturellement le cas pour la faible volatilité maintenant, étant donné le faible risque que nous avons vu jusqu’à présent cette année. Mais je dirais que les actions de faible volatilité sont plus ou moins ˂indiscernable˃. C’est des nombres plus cycliques en ce moment, donc ils sont à des valuations bien plus attirantes par rapport au reste du marché, mais ça vient avec des différents risques.
Les actions cycliques vont échanger avec des valuations plus faibles par rapport aux taux plus élevés mais également avec les limites où le cycle va conclure avec une récession. Mais pendant ce temps, les actions à la défensive sont bien moins assujetties à ces risques de récession. Et en ce moment, c’est une opportunité unique pour revenir à des actions qui ont de bons rendements, mais je dirais aussi que cette opportunité ne devrait pas venir au détriment de l’attribution à la faible volatilité mais plutôt à l’attribution à la croissance des actions, ce qui est à des taux de valuations bien plus élevés mais sans justification.
TAMARA : Donc, ceci nous amène à la fin de nos questions planifiées. Je vois que j’ai quelques questions de la part du public, que je vais vous poser en ce moment. N’importe qui qui veut intervenir, vous pouvez le faire La première question est : « Est-ce que nous sommes en train de voir une répétition de 2020, ou est-ce que, cette fois-ci, c’est différent? Et si oui, comment? »
JULIEN : Peut-être que je peux répondre à cette question parce que j’ai fait exprès de mentionner quelques références de 2020 avant, parce qu’il y a des similitudes mais il y a aussi des différences. Une chose qui est arrivée en 2020, qui est arrivée aussi cette année malheureusement, c’est le gros crash que nous avons vu à cause de la COVID et que les fédéraux ont dû intervenir, bien, non seulement le fédéral, mais les gouvernements aussi ont interféré, puis la banque centrale, sont intervenus pour appuyer des marchés avec de grandes trousses et des stimulus monétaires également. Et on ne va probablement pas les revoir dans notre vie.
Et plusieurs ˂indiscernable˃. Et puis ce patron n’est pas arrivé cette année malheureusement. Mais quelque chose qui est très semblable, c’est la concentration que j’ai mentionnée, ou que vous avez mentionnée aussi, Tamara, et qu’on a connue en 2020 aussi. Si vous vous souvenez bien, c’est le phénomène de travailler à partir de chez soi. Donc, il y avait des noms, comme Amazon, qui ont vu de grand rallies, puis ont été avantagés par cet environnement. Tout le monde pensait à l’époque qu’on aboutirait en train de travailler à partir de chez nous pour toujours, mais regardez : autour de moi, ce n’est pas le cas, hein? Et puis ça, c’était l’histoire à l’époque.
Mais aujourd’hui, cette année, l’histoire est un peu différente. C’est l’IA. Tout le monde est en train de voir ChatGPT, tout le monde est en train d’acheter des actions. Et honnêtement, une similitude probable entre 2020 et le rally qu’on a vu en 2023, c’est que ce sont des noms très visibles et que l’on voit avec des gens qui font des différents échanges. Et puis alors, honnêtement, c’est ˂indiscernable˃, on voit un rally. Un rally tellement concentré, c’est parce que c’est largement des individus qui achètent, des noms individuels, au lieu de portefeuilles diversifiés. On voit encore, en fait, des rédemptions d’équités, des fonds d’équités qui sont diversifiés, un peu comme ce que l’on avait vu en 2020, malgré le rally du marché.
˂00:38:11˃ Donc, c’est le même type de phénomène que nous voyons de ce point de vue, mais si on revient à ce que j’avais dit un peu plus tôt, nous avons vu ça, nous savons comment ça aboutit. Et malgré tout ces rallies concentrés que nous avons vus, ça ne change pas les preuves, ça fait partie des preuves empiriques aussi.
TAMARA : OK, merci. Alors je vois encore une question, des questions et réponses. « Qu’est-ce que ça prendrait si les styles de faible volatilité, donc de surperformer encore une fois? Est-ce que ça prend un crash du marché encore une fois? Une deuxième arrivée? On s’attend à quoi dorénavant, en fait? Quelles sont nos attentes du futur? » Quelqu’un veut parler de nos attentes pour le futur?
JULIEN : Je peux le faire mais je vais laisser peut-être J-F répondre à des questions aussi, hein.
JEAN-FRANCOIS : Eh bien, encore une fois, c’est à vous, mais je peux répondre. Alors on peut parler des conditions qui ont mené à la surperformance, mais le fait est que personne ne contrôle vraiment ces conditions. Donc, le facteur le plus important, c’est la direction du marché. Si les marchés voient un crash, on peut s’attendre à de la faible volatilité, à avoir une surperformance. Mais je ne sais pas pourquoi les gens voudraient que les marchés subissent un crash. J’espère que personne n’espère un crash. Moi, je veux voir un rally du marché, mais que la faible volatilité fasse ce qu’elle fait le mieux, c’est-à-dire une bonne capture ascendante à des risques plus faibles.
Et en fait, ce que j’essaie de dire, c’est que les gens devraient changer la façon dont ils voient les choses lorsqu’ils évaluent le taux. Donc, ça n’a jamais rien à voir avec la haute performance. Ça a à voir avec la livraison de rendements plus élevés. Et il faut se concentrer sur ça. Il s’agit de livrer des meilleurs rendements là-dessus. Et ce n’est pas nécessairement ce que les marchés sont en train de livrer. Et puis l’effet secondaire, aussi, c’est une question de livrer une meilleure capture, et puis moins de captures descendantes. Donc, d’après ce point de vue, je pense que les gens devraient espérer un rally bien plus ˂indiscernable˃. Mais on capture 80 ou 90 % du côté ascendant dans bien plus que ce qu’ils auraient peut-être espéré dans un crash du marché.
JULIEN : Peut-être pour rajouter à tout ça, encore une fois, si on revient à ce phénomène de concentration, évidemment, il y a des marchés qui se concentrent, ça permettrait de récupérer les propriétés que nous avons vues dans le passé. Et on l’a vu en 2021 avec la COVID, où le marché a commencé à se concentrer. Et nous avons vu une capture bien plus large, même s’il y avait des ˂indiscernable˃, donc nous avions aussi 90 % de capture ascendante. Et c’est fantastique, dans mon opinion. Puis les gens ne devraient pas avoir vu ceci comme faible volume, c’est d’être à faible volatilité, qui voit une performance bien plus large par rapport à ce que l’on s’attend dans un marché en amont. Alors on voit pas mal de gens qui préfèrent voir la faible volatilité performer, mais ce n’est pas l’objectif à long terme. Ce n’est pas ce que les gens devraient espérer. Ils devraient espérer, comme J-F a dit, des meilleurs retours ajustés par le revenu, puis les captures internes et externes accrues, puis ce type de propriétés.
TAMARA : OK, alors ceci conclut notre temps ici aujourd’hui. Je voudrais remercier Julien et Jean-François pour pouvoir donner leur point de vue sur différentes conditions et les facteurs de faible ˂indiscernable˃, puis la diversification et l’importance de la réduction de risques. Je voudrais également remercier le public pour avoir participé. Si vous avez d’autres questions, ou si vous voulez plus d’informations sur le sujet d’aujourd’hui, n’hésitez pas à nous contacter, ou votre gestionnaire de relations, et puis on va, avec plaisir, vous revenir là-dessus.
Je voudrais vous encourager aussi, si jamais il y a un sujet spécifique que vous voudriez voir à l’avenir dans un webinaire, dites-le nous. Merci, puis on vous souhaite une excellente journée, puis on se reverra encore une fois très bientôt. Merci et bonne journée.
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